• ○ Laisser partir ce qui n’est plus utile et relâcher les tensions accumulées grâce à des pratiques de respiration et d’asanas (postures de yoga) ciblées ;
• ○ Retrouver un équilibre physique et mental grâce à un rythme de pratiques Yin et Yang ;
• ○ Se recharger de la belle énergie revitalisante du Printemps pour renforcer l’estime de soi et rebooster ses capacités créatives.

Jean Leclercq et Sabine Vicaire se sont rencontrés à Cotignac. Lui, ancien ébéniste à Paris en reconversion dans la viticulture. Elle, chef de projet Télécom à Marseille. Ces deux amoureux de la nature partageaient la même envie : un retour à la terre. Après avoir vécu des années dans le bitume, ces deux citadins en quête d’authenticité ont alors décidé de tout plaquer pour réaliser leur rêve.

C’est en 2004 que Jean est devenu propriétaire d’un cabanon situé « au milieu de nulle part », dans les collines surplombant le village et dont l’accès n’est possible qu’à pied. Dans ce splendide décor, la vue s’étend jusqu’à l’Estérel et les journées sont bercées par le chant des oiseaux et parfumées d’odeurs de thym et de romarin. Sabine et lui ont alors choisi de cultiver la vigne, les oliviers, et le safran, peu gourmands en eau.

Sur la route des Gorges du Verdon, la commune d’Aups accueille le premier marché de détail de vente de truffes en France. Les sols calcaires et sableux du Haut-Var conviennent parfaitement au développement du Tuber melanosporum, la délicieuse truffe noire. C’est pour cette raison que Patrick Canut, alors boulanger et pâtissier à Aups, a choisi il y a 25 ans d’y implanter son exploitation truffière. Sur ses douze hectares de terre, un et demi est consacré à la plantation de chênes verts et blancs pour cultiver la truffe, et plus de 1000 oliviers complètent le décor pour produire une savoureuse huile d’olive.

Une affaire de famille, puisque sa femme et ses trois enfants l’ont soutenu dans sa reconversion et son besoin de retour à la nature. Tout particulièrement Lisa Canut, préparatrice en pharmacie de juin à novembre, qui retrouve son père chaque hiver pour le cavage, les démonstrations et la vente sur les marchés, puisque 100% de leur production est commercialisée en direct.

Depuis octobre dernier, Lou Calen vous invite à une promenade ludique dans ses jardins pour apprendre à reconnaitre les plantes sauvages et découvrir leurs bienfaits. Une balade accessible à tous, guidée et commentée par Vera, une enfant du pays diplômée en phytothérapie et herboristerie. Pendant deux heures, elle partagera avec vous son amour pour les plantes, vous apprendra leurs propriétés et leurs usages, qu’ils soient comestibles, médicinaux ou domestiques, et surtout leurs histoires fascinantes, parsemées d’anecdotes croustillantes.

Vous découvrirez, entre autre, que l’immortelle possède d’excellente vertus cicatrisantes, que la feuille d’arbousier en décoction est un très bon antiseptique urinaire, que les fleurs de lavande peuvent s’utiliser en infusion en cas de trouble du sommeil, que les fruits du micocoulier facilitent la digestion, ou encore que la langue française doit au laurier le mot baccalauréat. En effet, dans l’antiquité gréco-romaine, on remettait aux docteurs en médecine du laurier à baie (du latin bacca laureus) pour les gratifier à la fin de leurs études.

Cécile fabrique des objets utilitaires ou décoratifs en grès, avec le souci de créer des pièces artisanales à la fois épurées, délicates mais toujours en gardant une onde de couleurs ou un détail percutant.

Chaque pièce est unique, réalisée à la main selon plusieurs techniques : au tournage, à la plaque ou aux colombins. L’objet sera ensuite laissé brut ou sera décoré à la main à partir d’engobes colorés qui laisseront apparaître des motifs et des textures. Vous pourrez la croiser sur certains marchés locaux qu’elle arpente toute l’année

Née à Hanovre dans le Nord de l’Allemagne, Anna Piquardt est tombée amoureuse de la Provence dès sa plus tendre enfance. Chaque été, elle se hâtait de revenir à « Minguinelle », petit hameau en ruine acquit par ses parents avant sa naissance sur la commune de Barjols. Elle se souvient de la joie de retrouver la nature sauvage de l’arrière-pays provençal, ses couleurs et ses senteurs, mais aussi sa « grand-mère de cœur », qui lui a transmis son amour pour le végétal et les traditions ancestrales.

Particulièrement engagée dans la défense des droits de l’Homme et de la nature, Anna suit des études sur l’Amérique Latine et se forme à l’écologie profonde avec Joanna Macy, grande praticienne et penseuse de l’écopsychologie. La rencontre avec une poétesse Mapuche en Allemagne, l’emmène à voyager régulièrement à Temuco dans la région de l’Araucania au Chili. Ces terres Mapuches, émaillées de violences et d’occupations illégales, sont convoitées depuis des décennies par l’état chilien et l’exploitation forestière qui affecte l’environnement et la culture Mapuche dans son essence spirituelle.

Depuis 2015, le Fanny Mendelssohn Förderpreis récompense chaque année de jeunes musiciens classiques pour leurs concepts innovants. Financer un premier album entièrement selon les idées du lauréat ne constitue qu‘une partie du soutien apporté par l‘association de parrainage éponyme. Les jeunes musiciens sont soutenus à long terme par des opportunités de performance où ils peuvent également poursuivre leurs ambitions de soliste, comme lors du Festival des lauré­ats annuel à la célèbre Elbphilharmonie de Hambourg.

Cette année, les lauréats ont décidé d‘étendre le concept de représentations communes avec une distribution alternée et ont uni leurs forces à celles de certains finalistes du FMFP sous le nom de Fanny Mendelssohn Artists. Ensemble, ils forment un nouvel ensemble de solistes classiques de haut niveau qui est prêt à enchanter le public avec des programmes créatifs et des possibilités illimitées pour des constellations d‘ensembles toujours nouvelles